« Nous avons réussi! »

Affiché le 31 mars 2020 par Medipac

C’étaitla manchette, en décembre 1992, du tout premier numéro de CSANews, version anglaise du magazine Nouvelles « CSA ». L’Association canadienne des « snowbirds » venait à peine de remportersa première victoire, soit la mise en œuvre pour ses membres du régime d’assurance voyage Medipac. Compte tenu des primes en vigueur à l’époque, les membres ont économisé plus de25 millions de dollars, soit en moyenne plus de650 $ par personne ou 1 300 $ par couple.

Au terme d’une recherche minutieuse, où 43 assureurs et administrateurs différents lui avaient fait des présentations, le comité directeur des snowbirds procéda à un vote d’essai pourarrêter son choix,par décision unanime, sur Medipac International. Par souci de rigueur, les trois présentations les plus intéressantes furent soumises à KPMG, puis à Peat Marwick, aux fins d’analyse plus approfondie par des experts. Ces deux firmes recommandèrent Medipac d’emblée, qualifiant saprésentation de « largement supérieure » aux autres. Le régime d’assurance voyage Medipac était ainsi créé.

Au fil des ans, bien des assureurs, des courtiers, desadministrateurset des associations — dont certaines étaient bidons — ont essayé d’imiter le régime Medipac, en vain.Si quelques-uns réussissent à proposer des primes plus abordables, leurs garanties sont normalement de beaucoup inférieures, leur assistance médicale — s’il y en a — est bâclée, et les périodes d’attente sont longues. Certaines ont des limites trop basses pour payer une facture d’hôpital simple. D’autres sont assorties de ce qu’on appelle dans l’industrie une « clause ferme d’état préexistant », c’est-à-dire que si vous avez DÉJÀsouffert de quelque chose, l’assurance ne le couvre pas. Réfléchissez-y un instant… l’assurance qu’ils vous proposent ne vous offre pas de garantie pour la cause la plus probable de réclamation. Ne gaspillez pas votre argent!

L’un de nos clients de longue date nous a envoyé un mot fort intéressant. Il comprend pourquoi les prix ont tellement augmenté vu la faiblesse du dollar, et se demande si les coûts prohibitifs des soins médicaux aux États-Unis ont encore plus augmenté. Il a manifestement pris le temps de se pencher sur la question, remarquant que la seule dépréciation du dollar ne suffisait pas à expliquer l’augmentation de nos tarifs. Et il a raison. C’est la pagaille dans le milieu médical aux É.-U. depuis l’adoption de l’Obamacare. En effet, 13 des 24 coopératives de soins de santé créées pour assurer lesAméricains ont cessé leurs activités ou sont en faillite. La nouvelle réglementation permet les franchises élevées (la plupart des gens ne peuvent se permettre autre chose) et les hôpitaux sont souvent incapables de se faire payer sans refuser leurs services, ce qui est illégal. Tout le système finira par s’écrouler.

Pour en revenir à la hausse des frais médicaux, notre facture d’hôpital moyenne aux É.-U. a atteint cette année 19 345 $ par jour, contre 15 981 $ l’an passé. Une visite chez le médecin(qui implique habituellement des tests de dépistage) est passée de 2 172 $ l’an passé à 2 498 $ cette année. Cela représente un taux d’inflation ridicule de 20 % en un an. Nos primes ne reflètent pas toutes ces augmentations, puisque nous espérons obtenir l’an prochain des réductions encore plus intéressantes sur ces factures. Nous verrons.

Un autre membre de l’ACS nous écrit que dans ses recherches en ligne, nous ne figurons pas parmi les cinq compagnies d’assurance voyage les moins chères. C’est parce que nous ne sommes pas du tout sur le radar.De tels « comparatifs », terme que j’utilise très librement, n’incluent que les régimes qui rapportent des commissions; Medipac ne versant aucune commission aux courtiers, nous en sommes exclus par le fait même. Attention à ce jeu : comparons des pommes avec des pommes.

Seuls deux types d’assurances se comparent facilement, soit l’assurance vie temporaire et l’assurance auto. Leurs polices et leurs conditions sont contrôlées par lesgouvernements, ce qui permet dans presque tous les cas de comparer des pommes avec des pommes. Mais qu’en est-il par exemple de l’assurance habitation?Avez-vous une couverture pour le refoulement des égouts? Votre police offre-t-elle une garantie contre les inondations ou les séismes? Vous êtes-vous arrêté au sens du terme « affaissement »? (Cela veut dire que si votre magnifique demeure sur le ravin s’engouffre dans le ravin, vous n’êtes pas couvert.) Si vous habitez Toronto ou Vancouver, votre magot d’un million ou plus est tout simplement volatilisé. La nouvelle présidente de l’ACS, Karen Huestis, a vécu une expérience semblable :un énorme gouffre s’est creusé devant sa résidence en Floride. Elle pourrait vous dire combien il est catastrophique — et coûteux — de ne pas avoir une couverture complète. Nous semblons toujours apprendre à la dure, moi compris. Avez-vous réellement lu votre police d’assurance voyage?

On m’a volé un tableau, ma bague en diamant, ma tondeuse, etc. Or, le vol est EXCLUde 95 % des polices d’assurance habitation à moins que l’article soit précisé et qu’une prime additionnelle soit versée. Le cambriolage, lui, est couvert, mais voulez-vous vraiment fendre les cheveux en quatre avec le service de réclamation de votre assureur? Le bris accidentel nécessite lui aussi que chaque article soit indiqué, ce qui veut dire que si vous perdez le diamant de deux carats de votre bague (bris), vous n’êtes pas couvert. Oh, et si vous oubliez la même bague aux toilettes de votre club de golf et qu’elle disparaît — ce qui est appelé une « disparition mystérieuse » —, vous n’êtes pas couvert non plus. Alors, qui pense maintenant qu’on puisse choisir son assurance habitation en fonction de la prime seulement?

L’assurance voyage peut être bien plus compliquée que l’assurance habitation. Lisez votre police et comprenez-la bien! Mais surtout, souscrivez Medipac,incontestablement la meilleure.